Dominique, cliente depuis un an, une évolution frappante !

Dominique nous avait tous ému avec son merveilleux témoignage sur sa quête de féminisation. Touchante, elle s’était livrée à cœur ouvert nous faisant part de ses peines, ses envies, sa joie lorsqu’elle est femme. Cela fait près d’un an qu’elle se rend chez Transbeauté et son évolution est flagrante ! A chacune de ses venues, je la vois de plus en plus femme et elle se sent de plus en plus féminine. C’est pourquoi je lui ai demandé son témoignage sur son évolution.

Après plusieurs RDV, peux –tu  nous en dire plus de ce que t’apporte Jennifer ?

Jennifer Persévérante est toujours cette amie tant recherchée qui par sa bienveillance, son empathie me reçoit avec toujours la même constance et son amour de l’Autre.
Que dire de plus sinon combien cette féminité me faisait peur, était pleine d’interrogations, avec des allers-retours entre culpabilité et laisser parler son corps. Jennifer ôte le voile de cette culpabilité et me rassure, même si ses allers retours sont plus ou moins présents mais avec beaucoup moins de violence. Sa connaissance sur l’homme au féminin, nos échanges me montrent comme l’écrit Roxanne en son portrait que cela ne fait pas de moi une mauvaise personne, nous n’avons ni tué, ni volé personne.

Jennifer, m’a fait comprendre combien le corps parlait de lui-même et l’entraver apportait une autre souffrance. Que cela était une chance énorme de vivre ses deux aspects de la création. Je ne voudrai pas passer à côté du côté humain de Jennifer qui pour ce qui me concerne prévaut sur la maquilleuse talentueuse et où à ses côtés, on ressent la confiance en soi, l’acceptation, où s’efface la culpabilité et aujourd’hui, cette femme qui vit me va merveilleusement bien et combien je l’aime !

Depuis un an, il y a bien sûr ces premières sorties féminines au restaurant, parc public, centres commerciaux où pour les décrire, il n’existe pas de mots. Jennifer me fait également aimer la mode féminine où j’aime porter de petites robes plutôt qu’une jupe. Ensemble nous avons trouvé ma couleur de cheveux.

Elle m’a également inciter à pousser les portes d’un salon de beauté pour de douces épilations et belles manucures et où je profite vraiment de l’instant présent en toute sincérité et honnêteté avec mon esthéticienne. Par ailleurs, elle m’a aussi recommandé de consulter une de ses amie dermatologue pour atténuer mes rougeurs de peau si contrariantes.

Il y a aussi nos photos qui m’ont permises de correspondre avec des amies Facebook et d’échanger par téléphone. D’avoir si je le souhaite la possibilité de rencontrer de nouvelles personnes.

Comment vis-tu ces instants d’avant, de pendant, d’après ta  féminisation?

Vivre ces instants, sont toujours un mélange de nombreuses émotions.
Quelques jours avant la rencontre avec Jennifer, c’est un mélange de joie, d’euphorie, de bonheur. C’est aussi plein de questionnement sur les vêtements à emporter comme si l’on partait en voyage. La dernière nuit ressemble un peu à celle du marchand de sable qui passe.

Mais l’habitude de ces rencontres c’est aussi ressentir de la souffrance comme lors de notre précédent RDV, par le seul fait de ressentir cette rencontre rare et précieuse et savoir qu’il me faudra quitter cette féminité qui prend de plus en plus de place…

Lors de mes féminisations et mises en beauté, il suffit de s’imaginer devant une fleur. Que cette fleur soit Rose, Pivoine…… Prendre son temps, patienter et la voir éclore. Etre belle après la pluie. C’est un moment d’éternité c’est-à-dire un moment qui n’aura pas de fin.

Si ces instants de bonheur perdurent après avoir quitté le salon de Jennifer et sont source de questionnement, malheureusement ils deviennent une souffrance rapidement. L’habitude de la rencontre, y prendre goût, la progression de mon féminin me conduisent à la souffrance d’une longue attente à les revivre, à avoir l’estime de soi, à aimer cette femme en moi, à revoir une jeune femme appréciée et estimée pour dévoiler chaque fois un peu plus de moi et m’apprendre sur moi-même.  

Y-a-t-il des vêtements féminins que tu aimes porter particulièrement ?

Rencontrer Jennifer c’est en ce qui me concerne, partager ses goûts. Goût d’une belle mise en beauté avec la justesse du geste féminin  et des tons, d’un rouge à lèvres, d’un premier vernis à ongles, de la photographie, de la mode, des coordonnées……..

En son shooping pour mon relooking d’août, j’ai vraiment tout aimé de ses choix et de ses poses.  Les tissus sont agréables au toucher, facile à entretenir et confortable.

Rien de ce qu’a déniché Jennifer pour mon relooking est dans la provocation et ses choix d’association permettent des sorties en l’espace public des plus naturelles.

Et si j’aime le port de beaux bas de qualité, j’ai beaucoup apprécié sa vision pour de petites robes légèrement sculptantes telles les deux petites robes noires et principalement le port de la jolie robe noire avec son col blanc.

Cependant j’étais tellement désespérée en la recherche de vêtements féminins et je remercie Jennifer de m’avoir rassurée que je pense aimer tant et tant de belles choses féminines, élégantes et modernes. J’aimerai essayer le port du leggings, d’une jupe short et de cuissardes « chaussettes ». 

En mes découvertes, la dentelle et les transparences, les corsets. Robes corsets, corsets à bretelles, chemises corsets. J’en serai presque devenue addict. Vêtir un corset amplifie ce féminin vivant en moi et à ma grande surprise le porter n’est aucunement  une torture mais un vrai plaisir. Ma seule interrogation demeure sur la présentation d’un beau décolleté.

Après tes rencontres avec Jennifer, y a-t-il eu des déceptions, des frustrations ?

Jennifer donne beaucoup d’elle-même en mes féminisations mais quelques déceptions et frustrations subsistent.

Déceptions de s’en retourner avec le sentiment de pouvoir mieux poser, de poses plus féminines. Déceptions d’un eye-liner, d’une manucure, de lèvres plus pulpeuses qui ne pouvaient prendre place en ma mise en beauté. Déception de ne pas progresser à marcher avec des talons, en la réalisation de ma mise en beauté.

En les frustrations, ce besoin de faire vivre la femme en moi qui prend de plus en plus de place mais où les moments féminins sont trop rares. Où l’éloignement de grandes métropoles et situation personnelle ne favorisent pas ma vie au féminin. Dans les frustrations,  s’y retrouve principalement ce fort besoin de poitrine attaché à ma peau comme une appartenance.

Aujourd’hui as-tu encore besoin de Jennifer pour vivre ta féminité exacerbée ?

Vivre cette féminité m’apporte tellement de bonheur et  de sourires, de joie et d’échange, d’équilibre et d’estime de soi qu’il me paraît humainement difficile de mettre ces rencontres avec Jennifer aux oubliettes.

De mon humble avis, on ne rencontre pas Jennifer par hasard. Et la rencontrer de nouveau encore moins. Vraisemblablement je rencontrerai de nouveau Jennifer car cette révélation de la femme en mon corps est à ses côtés un refuge pour affronter mes peurs et mes nombreux questionnements sur moi-même, pour m’apaiser..

Et puis j’ai encore tant de choses à apprendre. Pousser encore un peu plus ma féminité avec plus de sensualité, d’érotisme, de raffinement, transmettre par la photographie des émotions touchantes sans provocation.

Je voudrai aussi avoir avec nos publications facebookéennes une certaine utilité pour d’autres filles qui me ressemblent.  Pour qu’elles osent ce premier pas peu importe leur morphologie, leur âge, leur parcours personnel gardé en le secret de leur vie… Que cela soit avec Jennifer ou une autre personne. Peu importe mais qu’elles rencontrent « leur » propre Jennifer.

Tu sembles aimer poser sur les photos, as-tu une explication à cela ?

La relation entre le modèle et son photographe est très particulière et d’une confiance partagée. C’est un réel exercice et combien je me rends compte de la difficulté de ce métier.

Ce goût de la pose est venu petit à petit et s’est affirmé  lors de mon relooking en août où Jennifer a été exceptionnelle et professionnelle en son amour de l’art photographique et cet amour de poser s’est confirmé. Cet après-midi aoutienne, Jennifer m’as transmis avec son amour de la mode, son amour de la photographie.

Il a fait revenir en moi mes rêves d’enfant d’être modèle féminin ou de danseuse d’opéra pour ses voiles, ses arabesques, sa légerté. Longtemps j’ai cherché cette signification au point d’y voir revenir toutes mes frustrations comme si l’être frustré aimait être vu. Et puis pour en avoir discuté avec l’amie docteur de Jennifer, il semblerait que cela soit moins évident. Aujourd’hui cet amour de poser me donne la sensation d’être libératrice de ma propre image, de mes peurs.

J’aimerai m’améliorer et poursuivre ce goût de poser au point de construire un véritable book professionnel avec l’interrogation si j’en serai capable avec une autre personne et où je me heurte à mes maladresses.

De juin à octobre, on remarque un affinement de votre silhouette ?

Une mise en beauté, nous ouvrir sa porte et son cœur demandent des efforts. Sachant combien je reviendrai en son salon, je ne désirais pas qu’elle soit la seule à faire des efforts.

Et puis l’envie, le désir, le besoin de porter de jolies robes ou vêtements féminins m’a apportée une grande motivation à reprendre seulement de l’exercice physique.


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