Il y a des instants où l’on sent que quelque chose de profond est en train de se passer.
Quand Marie est arrivée au studio, j’ai tout de suite compris qu’elle ne venait pas seulement chercher un maquillage ou une jolie photo. Elle venait franchir un cap important dans son parcours.
Nous avons travaillé ensemble son regard, son sourire, puis testé trois perruques. Trois styles, trois reflets différents d’elle-même… et à chaque essai, je voyais son visage se transformer.
Avec la dernière, ce fut une révélation : un air pétillant, rajeuni, confiant.
Ce jour-là, ce n’était plus seulement une séance beauté. C’était une naissance, la rencontre entre Marie et la femme qu’elle portait en elle depuis longtemps.
Elle a accepté de partager ici son témoignage avec une sincérité touchante.
Présentation de Marie
Bonjour, je m’appelle Marie. Par chance, le prénom figure sur mon état civil. J’ai 63 ans, je suis divorcée et père de deux grands enfants.
Je suis en pré-retraite après une carrière de commerciale dans la publicité et de commerçante. J’habite dans le nord de la Seine-et-Marne.
Des premiers signes
Déjà adolescente, j’aimais porter des bas et des sous-vêtements féminins. Il faut dire que ma mère, après avoir eu quatre garçons, aurait souhaité une fille.
Inconsciemment, sans doute, cela a conditionné ma personnalité.
Plus tard, dans ma vie de jeune homme, avec les femmes, régulièrement l’amitié basculait dans la friend zone. Je passais du statut de prétendant à celui de bonne copine, voire de confidente.
Sans doute ont-elles senti en moi cette sensibilité.
Une envie permanente
L’envie d’être Marie est permanente.
Mais je suis consciente que, même si je vis seule, la vivre pleinement impliquerait un changement radical : déménagement, nouvelle activité sociale et surtout faire le tri dans mes amis et ma famille.
La décision serait sans doute plus simple avec un soutien à mes côtés.
Le passage à l’acte
Ce n’est qu’après mon divorce que j’ai réellement commencé à monter ma garde-robe, à me maquiller et à être présente, timidement, sur les réseaux.
J’ai vite compris qu’une paire de collants et une perruque ne suffisaient pas à satisfaire ma quête de perfection.
Le chemin est long, mais gratifiant.
Ce que cela m’apporte
Déjà, vivre en tant que femme simplifie terriblement le quotidien : plus de place dans les placards, ne plus se soucier de savoir s’il reste des traces de maquillage…
Mais plus sérieusement, c’est en finir avec la dualité. C’est un sentiment de liberté, de bien-être, et une envie de séduction.
Des craintes..
Ce n’est pas tant la famille qui me gêne. J’ai passé l’âge d’agir en fonction de ce que l’on attend de moi.
Je sais que je perdrai quelques amitiés et que j’en nouerai de nouvelles.
En revanche, le regard du voisinage et plus largement de mon environnement social me pétrifie.
Sans compter les agressions de haine de la part de personnes étroites d’esprit.
Mes envies
J’aimerais vraiment sortir dans la rue et faire du shopping entre filles. Pouvoir essayer des chaussures, des robes… Pour en finir avec les commandes sur internet et la gestion des retours.
Ma rencontre avec Transbeauté
Je suis arrivée par hasard, cet hiver, sur la page Facebook de Transbeauté, après une recherche en ligne de prestataires accueillant notre cause.
De suite, je me suis abonnée avec la ferme intention de progresser dans ma démarche.
Au vu du résultat, c’est une évidence : j’ai franchi une étape.
Une anecdote marquante
Autant j’ai toujours été consciente que physiquement ma part de féminité est crédible, autant je n’ai jamais été à l’aise avec mon sourire.
Merci à Jennifer d’avoir insisté – elle est vraiment tenace ! Cela change tout. Je suis plus naturelle et décontractée.
Pour citer Matthieu Ricard : « Le sourire, c’est la porte du cœur qui s’ouvre à l’autre. »
Globalement, cela a été une après-midi magique grâce à la bienveillance et au talent de l’artiste.
Ce jour-là, Marie était enfin née.
Un vrai crève-cœur de devoir me démaquiller à la fin de la séance.
Merci Marie !
Voir Marie repartir le sourire aux lèvres et le regard brillant, c’est exactement ce qui me motive chaque jour.
Chez Transbeauté, chaque séance est un moment privilégié où l’on prend soin de votre image mais aussi, et surtout, de votre confiance en vous.
✨ Vous avez envie de franchir une étape, de tester un nouveau look ou simplement de vous offrir un instant rien qu’à vous ?
👉 Prenez rendez-vous chez Transbeauté et découvrez combien il est agréable de révéler la personne que vous portez déjà en vous.
Je vous embrasse
Jennifer
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Bonjour Marie, bonjour à toutes.
Je commence par faire un peu de pub. Marie, pourquoi ne pas essayer le dîner de Charly ? Et, coup de chance, c’est justement dans une semaine exactement, vendredi 10.
Je comprends bien ce qu’est ce désir permanent. D’une certaine façon mon parcours en est la matérialisation, la traduction concrète.
Je suis par ailleurs surprise. Le changement radical n’a nécessité ni déménagement, ni tri dans mes relations sociales, amicales ou professionnelles en ce qui me concerne. Je sais, d’expérience, que c’est possible et je ne suis pas la seule. C’est évidemment un choix, des choix très personnels.
Concernant la dualité, je l’ai plutôt vécu comme un « entre deux ». Pas de sentiment d’être deux mais d’être entre deux mondes. Comme expliqué cela m’a très vite été pénible, comme un « fil à la patte « J’ai ressenti une véritable urgence à m’en défaire, à larguer les amarres. Ce qui est chose faite totalement aujourd’hui. Le sentiment de liberté, de plénitude est au rendez-vous.
Merci Claude pour ce partage, étant Gémeaux c’est encore plus compliqué que cela, sourire. Quant à ma participation au diner du 10 octobre qui vous dit que je n’y suis pas déjà inscrite, ou pas….
Bonjour Claude, bonjour à toutes. Merci pour ce retour d’expérience, c’est plus compliqué que cela, étant Gémeaux la dualité est bien ancrée, sourire. Quant au diner du 10 octobre peut-être bien que oui, peut-être bien que non, mystère …
Aucune croyance « zodiacale » me concernant.
Le cas échéant on pourra en discuter.
Bonne semaine d’ici là.
Claude.
Super