Le témoignage de la belle Morgane

Une trĂšs jolie rencontre avec Morgane, je vous laisse la dĂ©couvrir …

Peux-tu te prĂ©senter ?

Bonjour Ă  toutes et tous, je m’appelle Morgane, j’ai 39 ans, en couple avec une femme et je rĂ©side en Ile de France, plus prĂ©cisĂ©ment dans le dĂ©partement de l’Essonne.
Dans la vie, j’exerce deux travails, je suis employĂ© de la grande distribution et je suis entrain de monter mon activitĂ© dans le domaine de l’esthĂ©tique automobile.

Depuis combien de temps as-tu envie de te sentir femme ?

Ma passion pour le travestissement remonte il y a bien longtemps. J’étais en fin d’adolescence. Je me souviens du « dĂ©clic Â» comme si c’était hier : devant me rendre Ă  Paris, j’attendais patiemment le train, quand soudain, une jeune femme en mini-jupe et collants noir brillants arriva sur le quai de la gare.
A cet instant, ce fut une rĂ©vĂ©lation
Pourtant, ce n’était pas la premiĂšre que je voyais une jeune femme ainsi vĂȘtue ! Ma rĂ©action fut soudaine et spontanĂ©e, je me suis dit : « Wouah c’est trop beau, j’ai trop envie d’essayer moi aussi une telle tenue Â»

VoilĂ  comment tout a commencĂ© đŸ˜Š

Le fait de me travestir est une envie ponctuelle, je peux ne pas le faire pendant des mois. Je me sens trĂšs bien dans ma peau d’homme ! Mais c’est toujours un immense plaisir que de remettre ses affaires.

AprĂšs, et cela joue beaucoup dans la frĂ©quence de transformation, je n’ai malheureusement pas assez le temps Ă  y consacrer. Entre le travail, le sport, la vie quotidienne, il m’est difficile de trouver une journĂ©e complĂšte afin d’avoir le temps de se prĂ©parer et de profiter au moins quelques heures d’affilĂ©es dans la journĂ©e.

Je me souviens du temps oĂč je vivais encore chez mes parents oĂč j’attendais avec impatience qu’ils partent en vacances afin de profiter un maximum de me transformer plusieurs jours de suite.
Il faut dire que je posais mes jours en congĂ©s en consĂ©quence, c’était extraordinaire !!!

Pourquoi cette envie, qu’est-ce que cela te procure ?

Cette envie, autrement que chaque homme a un cĂŽtĂ© fĂ©minin plus ou moins prĂ©sent, je pense qu’elle vient d’une espĂšce de forme de jalousie vis-Ă -vis de la gente fĂ©minine.
Elles ont « le droit Ă  tout Â» concernant les choses jolies, douces et agrĂ©ables que composent leur garde-robe.
Que ce soit pour le maquillage pour se mettre en beautĂ©, les bijoux infiniment variĂ©s, les odeurs de parfums qui se diffusent laissant porter notre imagination
 ou que ce soit pour les vĂȘtements ! Que de choix de coupes, de matiĂšres, de couleurs, de formes et je ne parle mĂȘme pas des chaussures!!

Le fait de me permettre l’accĂšs Ă  cet univers me procure un sentiment de joie et de plĂ©nitude intense.
La parfaite expression de la Liberté avec un L majuscule.
Je ressens aussi un profond sentiment de satisfaction personnelle quand la transformation est plutÎt réussie.
J’en oublie tous les soucis de la vie et j’en profite Ă  fond !!! C’est la plus belle Ă©chappatoire pour moi đŸ˜Š

Quand as-tu dĂ©cider de passer Ă  l’acte ?

Suite Ă  cette fameuse vue du quai de la gare, qui ne m’a pas quittĂ© pendant plusieurs jours, je ne pensais qu’à essayer une tenue comme celle de cette jeune femme, du moins une paire de collant.

AprĂšs maintes hĂ©sitations, de peur que cela soit dĂ©couvert, je suis allĂ© fouiller secrĂštement le tiroir Ă  collants de ma sƓur qui a 6 ans de plus que moi.
A cet instant oĂč j’ai enfilĂ© la premiĂšre paire, plutĂŽt maladroitement (rires), sans les filer (ouf), cela a parfaitement confirmĂ© mon sentiment du « c’est trop bien Â»

Puis, l’envie devenait de plus en plus grande de dĂ©couvrir plus. Ce fut donc le tour des jupes, des tops puis de la lingerie. Que c’était excitant !!!
Malheureusement, il n’y avait pas perruque Ă  la maison, et je chaussais dĂ©jĂ  plusieurs tailles de plus que ma sƓur ou ma mĂšre. Il fallait donc faire sans chaussures ni perruque.

Mais, quelles sensations de libertĂ©, de satisfaction et de beautĂ© se dĂ©gageaient en moi. Il faut dire que mes critĂšres n’étaient pas exigeants Ă  l’époque mdr mais le reflet du miroir Ă©tait mon meilleur ami quand il dĂ©voilait mes longues jambes gainĂ©es. 

Le tout, s’accompagnant bien Ă©videmment de la peur d’ĂȘtre surpris, dĂ©couvert et se retrouver honteux aux pieds du mur par les membres de la famille.
Ce sentiment du risque et de la peur Ă©tait moindre que mes envies de me sentir « bien Â».  Et quand il y a des risques, chaque nom commun porte bien sa dĂ©finition, tout s’est toujours bien passĂ© jusqu’à la dĂ©couverte 


Quand j’ai commencĂ© Ă  effectuer mes premiers achats, je m’étais fait une cachette dans ma chambre pour les stocker et heureusement, elle n’a jamais Ă©tĂ© trouvĂ©e, Ă  ma connaissance du moins.
Cela est restĂ© ainsi quelques annĂ©es avant de quitter le domicile familial. Comme je l’ai Ă©voquĂ© prĂ©cĂ©demment, le moment des vacances de mes parents Ă©tait le plus attendus de l’annĂ©e. Seulement, ils partaient environ deux semaines par an, une au printemps et l’autre en automne.
C’est Ă  ces moments oĂč je pouvais m’adonner aux prĂ©mices du maquillage maladroit, Ă  une perruque bon marchĂ© qui s’emmĂȘlait au bout de cinq minutes et de la marche hasardeuse en talons.
Mais ce n’était pas l’essentiel, j’étais tout simplement heureuse, souriante, je vivais les meilleurs instants qu’il m’était donnĂ© Ă  l’époque.
Je me souviens aussi de ces soirs oĂč j’attendais que les voisins ferment leurs volets pour oser sortir dans la nuit faire le tour du quartier, c’était le bonheur total !

As-tu des craintes vis-Ă -vis de la sociĂ©tĂ©, de la famille ou une gĂȘne quelconque ?

Je rĂ©pondrais par l’affirmative Ă  cette question, car l’esprit de la majoritĂ© des personnes est bien trop Ă©troit et fermĂ©. Surtout pour les anciennes gĂ©nĂ©rations dont mes parents font partis par exemple.
Je constate que cela est moins vrai pour les jeunes.

Lorsque mes agissements ont Ă©tĂ© dĂ©couverts par ma mĂšre, rentrĂ©e plus tĂŽt du travail, j’étais totalement vĂȘtue des affaires de ma sƓur en dĂ©bullant dans le salon. Ce fut un vrai scandale ! J’en ris maintenant, mais sur le coup, c’était beaucoup moins drĂŽle.
S’en est suivi une longue discussion, moi dans tous mes Ă©tats, vous imaginez bien, sur le fait que ce ne sont pas des agissements normaux pour un garçon
 Avec toutes les choses qui en dĂ©coulent sur le genre, l’orientation sexuelle, ce qui a Ă©tĂ© loupĂ© dans l’éducation

Avec le recul, je pense surtout que ma mĂšre a Ă©tĂ© dĂ©bordĂ©e et a rĂ©agis Ă  chaud, tellement surprise d’avoir Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  cette situation inattendue.
Mais elle a Ă©tĂ© sympa et n’en a pas parlĂ© Ă  mon pĂšre, d’ailleurs, je me demande bien comment il aurait rĂ©agi, lui qui a un caractĂšre trĂšs calme et posĂ©.
Cela s’est fini comme un exercice de curiositĂ© d’essayage et nous n’en avons jamais reparlĂ©.

J’avoue que ça m’a calmĂ© pendant quelques temps !
Mais on connait toutes la musique, quand on a apprĂ©ciĂ© de se transformer, c’est encrĂ© en nous pour toujours.
C’est ainsi que j’ai commencĂ© Ă  acheter mes premiĂšres affaires, les prĂ©mices de ma future garde-robe.
A vĂ©lo, au dĂ©but, quand je n’avais pas le permis, d’aller le mercredi aprĂšs-midi ou le samedi dans les supermarchĂ©s. Je me souviens que j’étais trĂšs gĂȘnĂ© de choisir des produits fĂ©minins et j’arrivais tout rouge Ă  la caisse lol Je me justifiais Ă  chaque fois en prĂ©textant que ce n’était pas pour moi, mais il n’y a rien de pire pour se faire griller mdrr
Permis de voiture en poche, c’était beaucoup plus simple pour se dĂ©placer et acheter des affaires dans des boutiques plus discrĂštes et spĂ©cialisĂ©es que les supermarchĂ©s (oĂč la mamie qui fait aussi ses courses te regarde bizarrement Ă  la caisse car tu es un jeune homme qui achĂšte une paire de collants).
Donc, d’un point de vue de la sociĂ©tĂ©, du moins Ă  l’époque, je trouvais que c’était assez difficile, d’autant plus que je manquais cruellement d’assurance quand j’effectuais mes premiers achats.

Plusieurs annĂ©es plus tard, je suis parti m’installer chez une fille, et, curieusement, dĂšs que j’avais une copine, je ne ressentais pas ou peu cette envie de me travestir.
Un beau jour, elle me dit : « j’aimerais bien m’amuser Ă  te maquiller Â» vous imaginez bien mon Ă©tat de dĂ©sir Ă  ce moment-lĂ  ! Il fallait tout de mĂȘme que je me contienne pour ne rien dĂ©voiler ou laisser toute forme de suspicion

Le moment fut gĂ©nial, et petit Ă  petit s’est mis en place un jeu entre nous allant jusqu’à la transformation totale. Mais j’étais trop timide et peureux pour oser sortir en fille en sa compagnie. Je garde un excellent souvenir de cette pĂ©riode qui a durĂ© six ans.

Par la suite, j’ai rencontrĂ© plusieurs filles avec lesquelles je sentais bien qu’il Ă©tait hors de question d’aborder le sujet du travestissement et forcĂ©ment, les relations n’ont pas excĂ©dĂ© quelques semaines/mois.

J’ai continuĂ© Ă  me travestir de temps en temps chez moi, seul, en expĂ©rimentant quelques sorties mais sans retrouver les plaisirs de mes dĂ©buts.

J’ai commencĂ© Ă  laisser le travestissement de cotĂ©, en  adoptant de temps en temps un look androgyne du style mini short/collants ou legging avec un t-shirt qui m’évitait les longues prĂ©parations.

Ce n’est que lorsque j’ai rencontrĂ© ma compagne actuelle que les envies sont revenues ! A sa rencontre, je lui ai dis trĂšs rapidement que j’aimais me travestir, pour mon plaisir personnel. En procĂ©dant de cette façon, tout le monde gagne du temps au cas oĂč cela ne plait pas !
A ma grande surprise, elle a bien pris la chose et m’a dit que c’était bien de lui avoir dit et que tant que ce n’était pas tous les jours, cela ne lui posait pas de problĂšme.
S’est passĂ© quelques temps avant que l’on en reparle et que je lui montre les quelques tenues qu’il me restait. 

A ce moment, elle a eu une super idĂ©e, regarder ensemble l’émission de Tv de RuPaul : RuPaul’s Drag Race. Je ne connaissais pas ce show, mais elle si ! incroyable !! Nous avons enchainĂ© les treize saisons presque d’un coup !
Elle me supporte complĂštement dans cette passion et je l’en remercie du fond du cƓur, elle est extraordinaire. Depuis, nous faisons ensemble du shopping, elle m’achĂšte des fringues, du maquillage et plein de petites choses sympas qui font les dĂ©tails d’un look fĂ©minin complet ^^

Je suis conscient que j’ai une chance extraordinaire, et je pense que c’est le destin qui nous a fait nous rencontrer.

Pour mes amis, autres que mes amies travesties, peu sont au courant, et s’en foutent royalement, mĂȘme s’ils trouvent ça un peu chelou lol
Pour les autres, s’ils venaient Ă  connaĂźtre cette partie de ma personnalitĂ©, je reprends les termes que Dominique a utilisĂ© dans sa belle prĂ©sentation : « Si jour tu me dis que je ne suis plus ton ami, c’est ce que je ne l’ai jamais Ă©tĂ© Â» J’ai trouvĂ© cette formule absolument parfaite, merci ! đŸ˜‰

Mais ce n’est pas pour autant que je les reçois ou va chez eux en fille. Je me limite seulement aux soirĂ©es spĂ©ciales, comme des anniversaires Ă  thĂšmes dĂ©guisĂ©s. De plus, vivant en appartement, l’idĂ©e de croiser un voisin en fille m’a toujours redoutĂ© de peur d’avoir une Ă©tiquette de « travelo Â» dans la rĂ©sidence. Et puis, c’est plutĂŽt gĂȘnant d’arriver chez un ami, et dire « je me change, j’en ai pour 2heures Â» 

Je ne me pensais pas capable d’affronter et d’assumer pour rĂ©sumer.

Quelles sont les prochaines Ă©tapes de ta fĂ©minisation ?

Je ne pense pas qu’il y aura de grosses Ă©tapes dans ma fĂ©minisation.
Certainement une Ă©pilation rĂ©guliĂšre des sourcils en institut et peut-ĂȘtre  me faire percer les oreilles.

Autrement, je ferais une Ă©pilation du corps dĂ©finitive au laser, aussi en institut car j’ai achetĂ© un appareil Ă  lumiĂšre pulsĂ©e mais je ne suis pas satisfait des rĂ©sultats, malgrĂ© le respect Ă  la lettre du mode d’emploi au bout de 6 mois d’utilisation.

Pourquoi avoir fait appel Ă  Jennifer ? Que m’as-tu apportĂ© ?

J’ai fait appel à Jennifer car depuis quelques temps, je regardais les prestations qu’elle propose via son site internet.
Il y a peu de maquilleuses professionnelles qui proposent leurs services aux transgenres et travesties. En plus, j’ai la chance de ne pas habiter loin. Le choix Ă©tait donc Ă©vident !

C’est Ă  la suite de regarder RuPaul avec ma compagne qui m’a motivĂ© Ă  renouer avec ma passion, mais en mieux ! J’ai acquis une certaine habilitĂ© Ă  me maquiller avec le temps, mais hormis quelques tutos sur le web, j’ai appris devant mon miroir. Selon les personnes qui m’ont dĂ©jĂ  vue, le rĂ©sultat semblait correct, mais je souhaitais vraiment apprendre, avec une rencontre physique, en partant de la base.

J’avais tout de mĂȘme le cƓur serrĂ© Ă  l’approche du rendez-vous mais Jennifer m’a chaleureusement accueillis et tout de suite mis Ă  l’aise.
Jennifer est super sympa, agrĂ©able et rassurante. Elle sait trouver les mots justes et la sensation que j’ai eu Ă©tait comme si je la connaissais depuis longtemps !
De plus, elle est trĂšs pĂ©dagogue et douce, elle explique tout parfaitement et mĂȘme le pourquoi du comment si l’on a besoin de plus d’explications. Le top !

Ce cours fĂ»t une nouvelle rĂ©vĂ©lation pour moi, je ne me suis jamais sentie aussi jolie !! A tel point, que j’ai osĂ© repartir en fille de son atelier ! TROP BIEN !!! Il faut dire que Jennifer m’a bien motivĂ© Ă  le faire et elle a eu 1000% raison !!!
Le fait d’avoir un point de vue fĂ©minin, pro et sincĂšre m’a gonflĂ© Ă  bloc d’assurance et de confiance en moi.
En sortant, j’ai croisĂ© des personnes et des voitures, en pleine journĂ©e, comme si j’en avais l’habitude. Cette sensation Ă©tait absolument extraordinaire, mĂȘme si je me concentrais Ă  rester le plus naturel possible. Pas si Ă©vident ! Je n’avais pas souris autant depuis un moment !

J’ai tellement adorĂ©, que je me suis mĂȘme autorisĂ© une promenade dans un parc prĂšs de chez moi, constatant avec bonheur que les gens ne faisaient pas spĂ©cialement attention Ă  moi. Je pensais qu’en Ă©tant en fille, j’avais obligatoirement un gyrophare sur la tĂȘte mdrr, mais non, c’est trop cool đŸ˜€

Maintenant, j’ai trĂšs envie de recommencer Ă  sortir en fille, sans me cacher, simplement vivre et profiter Ă  fond dĂšs que j’aurais une journĂ©e Ă  dispo.

Bien sĂ»r, il me faudra intĂ©grer et rĂ©pĂ©ter les exercices de maquillage afin de trouver le niveau d’excellence que Jennifer a eu avec moi. Ensuite, je pourrais la revoir afin de perfectionner les techniques et m’initier aux maquillages spĂ©ciaux de fĂȘtes, de soirĂ©es, 


Donc, MERCI Jennifer, tu es une fille en or, exceptionnelle. Je ne sais pas quoi dire d’autre pour te remercier tellement cette rencontre m’a ouvert les yeux (haha pour un cours de maquillage) et fait un bien fou !

Ecrire ce rĂ©cit m’a fait trĂšs plaisir et je pense que j’en avait besoin de mettre en ligne ces moments de ma vie. J’ai envie de partager mon expĂ©rience avec ceux et celles que ça intĂ©resseraient. Pourquoi pas mĂȘme crĂ©er un compte Instagram pour partager mon Ă©volution makeup et mes futures sorties !

Au plaisir,

Morgane. 
 


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5 thoughts on “Le tĂ©moignage de la belle Morgane

  • Se travestir c’est essayer de se faire passer pour une femme en essayant de lui ressembler le plus possible.
    Mais en fait, la vraie libertĂ© avec un grand « L » est de pouvoir le faire en tant qu’homme.

    Pour ma part, je porte jupe, robe, collants en tant qu’homme et je suis connu pour çà. Je suis Ă  98% de temps en jupe au travail. Et oui, mĂȘme au travail j’ai acquis cette libertĂ© vestimentaire masculine.

    Je vous invite Ă  lire mon article sur mon blog : http://lesjupesmasculines.fr/index.php/jerome-salome/mon-article-dits-feminins et vous comprendrez que ce que vous appelez « fĂ©minin » ne l’est pas pour moi car « fĂ©minin » veut dire « uniquement pour les femmes ».

    Bien Ă  vous.
    JĂ©rĂŽme

    • Bonjour JĂ©rĂŽme !

      Je vous remercie d’avoir lu mon tĂ©moignage ainsi que pour votre commentaire 🙂
      J’ai pris le temps de lire votre article ainsi qu’une grande partie de votre site internet, trĂšs bien Ă©crit d’ailleurs !
      Effectivement, cet article est trĂšs intĂ©ressant en terme d’Ă©tude et d’approche. Je vous rejoins sur la totalitĂ© du contenu !
      Cependant, selon moi, la libertĂ© avec un grand L est propre Ă  chacun 😉

      Bien Ă  vous,
      Morgane

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